mercredi 19 septembre 2007

Parti aux confins

Jean Jacques Scherrer est parti rejoindre sa forêt Égyptienne.

Je suis triste et heureux... Regarderai en moi les Goûts de nos soirées à mots précis. J'invoquerai les traces de vies que tu as laissé. Centimètre par centimètre, géomètre du sillon creusé.

Et comme encore une fois te parler:
-"L'idée de l'Homme-poète que tu es, m'a fortement ridé et lissé sur les sentiers des mots, j'ai souvent pensé à toi. C'est que misère que tu sois sous terre, toi, si vivant dans le recueil de nos temps forts. Du coté du passage Molière, traînent encore nos pas. Fracture du temps réel. Va vers tes confins tranquilles, là ou la terre est blanche".


"Le poème n'est pas seul à respirer- Par temps secs ou lisible" Jean Jacques SCHERRER

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