lundi 24 septembre 2007

Unissons le bleu et noir














Début en promesse, une fleur et en spirale s'écrit une histoire. Et sur le tableau noir, une craie a laissé ses traits... Des mains enquêtent... Des animaux en attente, des couples en devenir. C'est le début d'une vie en bleu et blanc sur fond noir. Une genèse à inscrire.








Hier, j'avais mis en place l'ébauche, j'en apprécie ici encore le moment. La peinture attaquée par la gauche vient appuyer ma lecture de l'ensemble. Progression naturelle... Touche après touche, le bleu enferme le dessin. La crème sépare les éléments, les rend visibles. Ici, deux personnages sont en train de s'embrasser? les bras sont à retoucher. L'on verra cela après, allons à l'essentiel...







Je vous fait partager les différentes étapes
de ce grand format sur bois, afin de vous montrer
la montée progressive de mon plaisir de peindre à nouveau en grand.




D'atteindre avec moi le sommet de la montagne... Pouvoir y planter le dernier pinceau à la surface de la plus haute des crêtes.
"Poussez le cri du combat qui foudroie"
"En avant les amis, le chemin est ardu"


Les bras tendus au ciel comme un vœu lancé aux dieux... Attendrons nous longtemps l'écho de notre cri poussé?



Pour qu'en fin, vibrent à l'unisson, les lumières froides du bleu et du noir.





Voici le haut qui prend forme,
les personnages arrivent à prendre place
Le petit vent des couleurs aussi ...

Un personnage de l'ombre intervient pour lier le plongeon d'une femme.
Elle a pour nom Pandaia... C'est ma belle nageuse qui recherche une perle.
Allez continuons encore plus en haut, l'étoile... et ses amis.




Le matou, c'est Mistigris qui se joue la nuit des cœurs.

La lune l'accompagne et la petite guerrière à dans l'idée de trouver son bonheur, l'oiseau lui montrera-t-il le bon chemin... Elle regarde vers le bas.


Le Nuage est porteur de message.
La jarre en attente d'un quelconque breuvage.
C'est que je dois avoir soif... C'est la croix pas
la bannière. Cela avance les Z'amis ... Prenons
maintenant du recul et posons tranquillement
notre regard sur l'avancée du travail....









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