mardi 7 octobre 2008

Pensons à autre chose

Panserons nous nos blessures?
banderons nous nos maux?
Afficherons nous notre veto?
cacherons nous nos usures?
Ici bas rien n'est moins sûr.

Marchons d'un pas sûr
il y a autre chose que la conjoncture...
Qu'ils se débrouillent entre eux
Qu'ils magouillent, c'est leur jeu.
Il n'en restera que très peu pour nous, c'est sûr.
la guerre économique a commencé et elle a fière allure.

Oublions leurs morsures.
Pensons à nos mots jusqu'à l'overdose
Ouvrons nos yeux vers l'azur...
car nous sommes riches d'autres choses.







Lundi noir, mardi gris?...

1 commentaire:

Anonyme a dit…

"Le penseur, et de même l’artiste, qui a mis en sûreté
le meilleur de lui-même dans ses œuvres
ressent une joie presque maligne quand il voit
comment son corps et son esprit sont par le temps
brisés et détruits lentement, comme s’il voyait d’un
coins un voleur travailler son coffre-fort, sachant
lui, que le coffre est vide et que tous ses trésors
sont sauvés."

La pensée de Friedrich Nietzsche toujours aussi vivante et d’une justesse fulgurante…

Aphorismes choisis dans « Humain, trop humain » publié en 1878

Bise
Bianca