vendredi 13 juillet 2007

Finie est la sieste.


Mes pots au repos s'ennuyait que l'on ne viennes y tirer le jus.
Ils ont pris le temps d'une sieste, d'une rêverie eux aussi.
Le temps pour moi de recevoir quelques phrases amies.

Même au repos ont me félicite... y sont sympa les amis.

"Anto,

Mon ami, mon frère de sang, l’incontournable fulgurance de l’être, celui pour lequel j’ai régulièrement des pincements au coeur de ne pas partager avec lui des moments de simplicité primale. Je dois te l’avouer tu me manques Anto, pour ta sincérité d’être, le don permanent de toi sans voile sans fioriture, tes excès naturels, ta faculté à surfer sur la transgression contrôlée. Ton sourire à la « prunelle » en veille permanente, l’œil buccal des regards intérieurs portés par la sève de l’immanence, par les rayons de la lumière divine qui sourd en toi en permanence. Tu possèdes la Parole fondamentale sans le savoir vraiment, ce n’est pas rien ! ".
Gérard Lujan

"C'est trop, c'est trop beau... Je ne suis qu'un bon à rien..."
Merci tout de même, Poète! Et tes mots assemblés ressemblent à mes trois couleurs affamés.
Ils font appel à nos mémoires, nos instants en mélanges, séparés bientôt à nouveaux mêlés.
Le plaisir de te voir, au vue de l'absence sera grand.

Anto, le tout petit.

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