Grisailles tenaces
Ils avaient dit "beau temps sur Paris"... Mais que du gris...
Deux mois encore de ce temps là et je quitte la France.
Plus les œuvres s’enchaînent à mes basques et plus dur devient l’habit à porter. Alors, je travaille en tee-shirt.
Il se fait tard... et l'envie, l'énergie n'y sont plus.
Il se fait tard... et l'envie, l'énergie n'y sont plus.
Faut pas forcer l'animal à penser.
Vivement demain.
Carnets au sol avec dessins du jour.
Ne courbe pas l'échine et grisaille-moi cela...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire